Il n’est pas trop tôt. Salut. Il est… Il s’agit du temps que l’on a passé à vivre. Comme si demain, enfin, était achevé.
Il s’agit aussi de vous de toi de moi et des espaces octroyés par mon esprit vivace trahi par un corps bouffé. Et des mots, des mots trop longtemps succédés, des cochonneries littéraires qui n’emmerdent plus personne. Le monde est comme rouge, pperpétuellementaveuglé par le feu d’une merde bouillonante…
Toi, nous, tout comme moi sommes jolis au point d’être déjà suffisamment heureux pour… crever, molarder en toute sérénité. s’endormir, dire qu’il est l’heure de s’installer dans le creu de l’impasse.
Sulfuriques, granuleux et spongieux sont… les « s’en suffir ». et maintenant maintenir, c’est « j’aimerais que les mots soient incapables » de transmettre le son « mon pied droit cesse de succéder à mon pied gauche ».
Dans le coin de mon attitude il y a vous, il y a l’Humanité… Et le monde c’est l’Afrique, c’est l’Asie, l’Amérique du sud, et le creu de mon coude abandonné.
Quoiqu’il arrive, je rêve de silence et de toi, et de Toi seule, je rêve en attendant de n’être jamais lu. Dans les murs, il y a un bleu pas franc, un ciel-soleil qui explique « et si part ne reviendra jamais ».
Superposition des socles civilisateurs… Bases grotesques pour une inutile course à la force. « Dieu n’existe pas » contre les « imagine ce que tu viens de dire ».
La lampe de chevet s’estompe-electricité comme une bougie usée. L’aube sordide imbibe la couche « celeste comme l’utérus de mon âme », de ses effluves groteques, trop « nostalgie est jouissive pourvu qu’hier soit meilleur ».
Ce matin, hélas, ne sera plus consacré à « les gens qui meurent dans la misère », il sera le mien, même si vous n’y comprenez plus rien, même si « les rebelles chassent l’indifférence des idéalistes et la faim des ambitieux avale le corps des âmes ».
Je comprend seul que, ainsi, tout est fini, que plus rien ne sera « il faut crier au scandale ». Un lit. Mon corps alerté par la mort inexorable et mon esprit amoureux. Ainsi je m’éteins, en espérant… ne plus me réveiller.